|
Louise Daudelin en 1987 |
C’est un texte bien important à écrire et surtout très agréable à faire puisqu’il s’agit de remercier les nombreuses personnes et organismes qui ont permis la réalisation de ce site. Nous pensons tout de suite aux collaborateurs aux textes, aux institutions et aux individus qui ont fourni des documents et des photos, ainsi qu’à tous ceux et celles qui ont accepté généreusement que nous reproduisions des textes qu’ils ont signés et des photos qu’ils ont prises. Sans oublier les personnes et organismes qui ont soutenu financièrement ce projet de site. Impossible cependant de nommer toutes ces personnes. Elles sont nombreuses, et le risque d’en oublier est trop grand.
En premier lieu, soulignons l’apport exceptionnel de Louise Daudelin, la femme de Charles et sa collaboratrice de tous les instants. Grâce à sa mémoire des événements et son souci du détail, elle aura permis de confirmer les informations, de faire naître des questions et de compléter les renseignements sur les œuvres, les expositions et la vie de Charles Daudelin.
En deuxième lieu, nous tenons à remercier d’une manière toute spéciale l’équipe des Productions du Sixième, et en particulier son directeur André Meloche, qui a cru dès le début en la pertinence d’un site sur Charles Daudelin. Il y croyait tellement qu’il a accepté de consacrer son énergie et son temps à sa création et de mettre à notre disposition gratuitement les ressources de son entreprise en communications pour que se réalise ce projet. Si le site est convivial, invitant, et si le musée virtuel est agréable à visiter, c’est en grande partie à lui et à son équipe que nous le devons.
Ensuite, il est important de mentionner la contribution financière de la Ville de Granby, lieu de naissance de Daudelin. Elle n’a pas hésité un instant à proposer son soutien, grâce auquel il a été possible de boucler un budget, chose peu évidente dans les circonstances. Nous devons la remercier également pour la patience et la compréhension dont elle a fait preuve quant au retard dans la mise en ligne du site.
Une autre institution a accepté généreusement d’apporter sa collaboration au site Charles Daudelin. Il s’agit du Musée national des beaux-arts du Québec, qui possède la plus importante collection des œuvres de l’artiste. Pas étonnant que nous nous soyons tournés d’abord vers lui. Sa réaction fut enthousiaste et indéfectible. Si le Musée n’avait pas répondu avec autant de chaleur et d’ouverture, les débuts de l’aventure auraient certainement été moins faciles. Nous devons absolument saluer la collaboration de John Porter et d’Yves Lacasse qui nous ont ouvert les portes du MNBAQ, mais avant tout l’aide ô combien précieuse de Nathalie Thibault et de Phyllis Smith.
Nous devons remercier tous les musées du Québec qui ont fouillé dans leurs archives à la recherche de documents concernant Daudelin. Ils ont également accepté de nous fournir gratuitement le droit d’utiliser ceux-ci, allant souvent jusqu’à offrir de numériser pour nous des photos quand ce n’était pas de rephotographier carrément des œuvres dont les images étaient vieillies. Sylvie Alix, du Musée d’art contemporain, a tout particulièrement donné de son temps et nous a fait profiter de ses connaissances.
Nous ne pouvons passer sous silence l’aide d’Annette Olivier, la sœur de Charles, dont les souvenirs si gentiment racontés nous ont permis de combler certains vides de la jeunesse de son frère aîné.
Sans les photos qui reproduisent les œuvres de Charles Daudelin, il aurait été impossible de donner accès à celles-ci. Si une image vaut mille mots, et le site en compte un grand nombre, nous pouvons dire que ce site est bien disert. Tous ces mots, nous les devons à ces preneurs d’images qui pour la plupart ont répondu spontanément « oui » lorsque nous leur avons demandé l’autorisation de reproduire leurs photos dans le site.
Mais les mots ne viennent pas seulement avec les images; il y a des historiens de l’art, des collectionneurs, des conservateurs, des collaborateurs et des amis de l’artiste qui les ont écrits. Leurs textes sont signés, certes, mais nous leur sommes extrêmement reconnaissant d’avoir accepté de donner de leur temps – eux qui sont pour la plupart toujours à courir après les minutes – pour nous parler de l’artiste et de son œuvre.
|
Charles Daudelin en 1997
Photo : Michel Mercé |
Impossible de ne pas remercier des historiens de l’art, comme
François-Marc Gagnon, qui ont répondu à nos questions et nous ont permis un retour dans le passé. Tout comme les collaborateurs de Daudelin, nous pensons ici à
Jules Lasalle, Claude Bernard et
Louis Lafontaine qui, chacun avec sa spécialité, ont permis d’apporter un éclairage « technique » au travail du sculpteur.
Nous voulons souligner la contribution financière du bureau de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine St-Pierre.
Il en est de même pour l’apport financier du quotidien La Presse, qui nous a également ouvert les portes de ses archives. Un merci particulier à Guy Crevier.
Nous soulignons avec grand plaisir l’appui financier de Céline et Jacques Lamarre (Conseiller stratégique, Heenan Blaikie, Président et chef de la direction, SNC-Lavalin 1996-2009) qui se disent heureux de contribuer ainsi à la reconnaissance d’un artiste qu’ils admirent.
Merci pour la réponse rapide de Laurent Beaudoin de même que pour sa généreuse contribution.
Merci de l’aide des Caisses populaires de Kildare et de Granby Haute-Yamaska.
Je terminerai par un remerciement à mon père, Charles Daudelin, dont le vif souvenir m’a incité à poursuivre l’aventure malgré les embûches.
À toutes ces personnes précieuses, en mon nom et en celui de ma mère, Louise Daudelin, je dis un grand MERCI.
Rémy Daudelin